A1, a2… à 3, on saute le pas?: Cas pratique de mise en oeuvre ducecrl en espagnol des affaires

• Isabelle Chabrier ^[1]
  1. [1] Ecoles Supérieures de Commerce
• Localización: As línguas estrangeiras no ensino superior, Vol. 1, 2018 (Propostas didáticas e casos em estudo / coord. por Maria Ellison), ISBN 9789895403073, págs. 57-70
• Idioma: francés
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    I had been teaching the language of Cervantes converted in tobusiness Spanish to future salespersons keen on good deals for onlya few weeks, when my colleague of German, twenty years older thansaid: “ We have to prepare the Bulats.” Young and unaware, I answered: “What is it?” “A German cake?” Amused, he kindly informed me, not of a recipe for Bulats, but of the existence of this official examination in compliance with the Common European Framework of Reference for Languages (CEFR). We were in 2009. Was this discovery about to change my way of teaching? What impact would it have on the content of my classes and on evaluation. That is what I invite you to discover in this article

  • français

    J’enseignais, depuis quelques semaines seulement, avec bonheur, liberté et spontanéité la langue de Cervantes converti en businessman à de futurs commerciaux et férus des affaires, lorsque mon collègue d’allemand, de vingt ans mon aîné, me dit : « Nous devons préparer le Bulats ». Jeune inconsciente que j’étais, je lui rétorquai : « qu’est-ce que c’est ? Un gâteau allemand ? ». Amusé et bienveillant, il m’informa, non de la recette du Bulats, mais del’existence de cet examen offi ciel conforme au Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL) et me toucha quelques mots de celuici et de la Déclaration de Bologne. Nous étions en 2009. En quoi cette découverte allait-elle changer ma manière d’enseigner ? Quel impact sur les contenus de mes cours et sur les évaluations allait-elle avoir? C’est ce que je vous propose de découvrir dans cet article.