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The adaptation of Shakespeare's pentameter into Catalan

  • Autores: Dídac Pujol
  • Localización: Babel: Revue Internationale de la Traduction = International Journal of Translation, ISSN 0521-9744, Vol. 52, Nº 4, 2006, págs. 307-332
  • Idioma: inglés
  • Texto completo no disponible (Saber más ...)
  • Resumen
    • English

      The aim of this article is to identify the translation strategies involved in the adaptation of Shakespeare's pentameter into Catalan. The paper compares Shakespeare's pentameter (which is characterised by flexibility, naturalness and evolution over time) with the adaptations made by Catalan translators: the most usual line, the decasyllable (usually containing a masculine caesura on the 4th syllable) is felt to be too rigid and monotonous by some translators, and is regarded as too short to accommodate the meaning of Shakespeare's pentametric line. In order to overcome these limitations, some translators use two techniques: polimetry and alternate line breaks. These practices have some advantages: they promote metrical variety and, in the case of polimetry, they allow the translator to lengthen the line; the result is verse that, in terms of flexibility, variety and naturalness, resembles Shakespeare's much more than verse made up exclusively of traditional 4+6 decasyllables. Yet, polimetry and the combination of caesured and uncaesured lines have some disadvantages: if practised in excess, these translation procedures inhibit the perception of rhythm and, in the case of polimetry, ignore the metrical evolution that exists between Shakespeare's early and his middle and late plays.

    • français

      L'objectif de cet article est d'identifier les stratégies de traduction impliquées dans l'adaptation du pentamètre de Shakespeare en catalan. L'article compare le pentamètre de Shakespeare (qui est caractérisé par la flexibilité, le naturel et l'évolution à travers le temps) et les adaptations réalisées par des traducteurs catalans. Le vers le plus habituel, la décasyllabe (contenant habituellement une césure masculine à la quatrième syllabe), est ressenti comme trop rigide et monotone par certain traducteurs, et il est considéré comme étant trop court pour adapter la signification du vers pentamétrique de Shakespeare.

      Afin de vaincre ces restrictions, certain traducteurs utilisent deux techniques: la polymétrie et les ruptures de vers alternés. Ces techniques présentent certains avantages: elles favorisent la variété métrique et, dans le cas de la polymétrie, elles permettent au traducteur de prolonger le vers; le résultat est une poésie qui, en termes de flexibilité, de variété et de naturel, ressemble bien plus à Shakespeare qu'une poésie réalisée exclusivement à partir de décasyllabes traditionnelle 4+6. Cependant, la polymétrie et la combinaison de vers avec ou sans césure présentent certains inconvénients: si ces procédures de traduction sont utilisées de manière excessive, elles gêneront la perception du rythme et, dans le cas de la polymétrie, elles ignoreront l'évolution métrique qui existe entre le premières pièces de Shakespeare, celles du milieu de son oeuvre et les dernières.


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