Dès le XVIIIe siècle, l'amélioration de l'élevage, en particulier de l'alimentation du bétail, a conduit les agronomes à s'intéressser davantage aux ressources de la flore pour en retenir les espèces végétales les plus intéressantes. Mais ces dernières n'ont pas toujours été celles auxquelles on pense aujourd'hui et la biodiversité fourragère actuelle s'est considérablement appauvrie. Quant à nos farines animales, elles n'ont rien à envier aux matières premières qu'on récupérait de diverses activités sans trop d'état d'âme: tous les déchets ou sous-produits étaient bons pour les troupeaux...
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