En 1936, à Paris, la compagnie PitoËff a donné la première d'Angelica, un drame satirique en trois actes, écrit en français par Leo Ferrero. L'auteur italien s'était exilé en France en 1929 décidé à devenir un écrivain français et à ne plus retourner au pays gouverné par Mussolini. Cependant, à cause de la prématurée disparition de Ferrero, Angelica fut représentée après sa mort et l'une des voix les plus critiques contre le fascisme fut ainsi brisée. Nous proposons une étude sur le signifié international de cette oeuvre face à la menace totalitaire anticipant la Guerre Civile Espagnole et la Deuxième Guerre Mondiale.
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