Les histoires immortalisées par les oeuvres des littératures antiques (gréco-romaine et biblique) ont traversé les siècles, en revêtant au fil du temps les significations que chaque époque a su leur attribuer. Figure centrale de la tragédie antique et moderne, personnage et archétype, le mythe réinvestit le théâtre contemporain : lieu de société, espace par excellence de l'ode civile, la scène peut encore parler au public d'aujourd'hui, en puisant dans ces histoires ancestrales. Leur dimension universelle se glisse dans des contextes divers, où le pouvoir, le crime, la guerre ou les lois claniques se substituent, dans leur représentation du destin des hommes, à la puissance des dieux. Que reste-t-il donc du mythe dans les réécritures dramatiques contemporaines ? Quel est le travail d'adaptation ou de réinterprétation de l'écrivain, d'abord, du metteur en scène et des acteurs ensuite, pour qu'un mythe soit encore vivace et pertinent aux yeux de la polis globale qu'est notre société ?
págs. 7-24
Il mito al femminile: Maria, Medea e Antigone nel teatro di Antonio Tarantino
págs. 25-41
La Medea di Giuliana Musso: la città ha fondamenta sopra un misfatto
págs. 43-60
Medea allo specchio: un mito della contemporaneità
págs. 61-82
págs. 83-97
págs. 99-116
págs. 117-140
págs. 141-154
L'Ippolito di Elena Bono: dramma in tre atti
págs. 155-172
págs. 173-184
Du livre à la scène: Le mythe dans "L'ultimo viaggio di Sindbad" d'Erri de Luca
págs. 185-199
Adam, le Christ et le Grand Inquisiteur: avatars vétéro-, néo- et post-testamentaires dans le théâtre de Diego Fabbri
págs. 201-220
Un forsennato e masochistico atto di coscienza e di contrizione: la "Salomè" di Dario Bellezza
págs. 221-240
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