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Vínculos de Historia, ISSN-e 2254-6901, Nº. 4, 2015, págs. 434-436
À partir de Mai 68 et au cours des années 1970, des mouvements militants (d'extrême-gauche, de prisonniers, de féministes, d'homosexuels, d'immigrés, etc.)font émerger une nouvelle pratique critique du droit et des institutions pénales.
Les quinze années qui suivent sont marquées par une politisation des questions pénales et par un éclatement des positions militantes en la matière : faut-il envoyer les patrons en prison ? Lutter contre la répression ou saisir les tribunaux des dommages que l'on subit ? Plaider contre la loi pénale ou pour son application ? Veut-on demander un renforcement des sanctions contre les agressions racistes, sexistes, sexuelles, homophobes, etc. comme signe de reconnaissance de la gravité des préjudices ? Jean Bérard propose une histoire inédite des relations entre les mouvements contestataires et la justice, et apporte un éclairage sur leur contribution essentielle à l’évolution de la justice et du système pénal contemporains.
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