The myth of Actaeon, with Klossowski and Frénaud, indicates that the tragic outcome is consented to. His desire to see Diana reveals a lack to be filled by another process than the destructive excess by which Ovid presents him to us. To be metamorphosed into a deer, the hunter desires his own death: an existential sacrifice, but also a poetic one, because reading the works completes Actaeon’s life as well as prolongs and revives it. Diana’s bath being a desired good as well as a useful test for literature, Frénaud proposes an ethical resolution of the paradox of Actaeon by accomplishment in animality, in line with what Klossowski described as "voluntary cervitude". In other words, the meaning of this symbol of man would be in its desired abolition under the form of food, readers representing dogs as much as the world engulfing humanity.
Le mythe d’Actéon, avec Klossowski et Frénaud, dit un consentement à son issue tragique. Son désir de voir Diane révèle un manque à combler par un autre processus que la démesure destructrice par laquelle Ovide nous le présente. D’être métamorphosé en cerf, le chasseur en désire la mort : sacrifice existentiel, mais aussi poétique, car la lecture des œuvres achève la vie d’Actéon aussi bien qu’elle la prolonge et la relance. Le bain de Diane étant un bien désiré autant qu’une épreuve utile pour la littérature, Frénaud propose une résolution éthique du paradoxe d’Actéon par l’accomplissement dans l’animalité, dans le fil de ce que Klossowski a qualifié de « cervitude volontaire ». En d’autres termes, le sens de ce symbole de l’homme serait dans son abolition désirée sous les espèces d’une nourriture, les lecteurs figurant les chiens autant que le monde engloutissant l’humanité
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