Partiendo de hipótesis y preguntas formuladas por Louis Jambou en 1993 acerca de la interpretación con instrumentos de algunas obras de Tomás Luis de Victoria, se estudian los ejemplos concretos de dos partichelas manuscritas correspondientes a dos motetes (Vidi speciosam. Prima pars y Vere languores). Al pertenecer a un monasterio de monjas, la participación instrumental respondería a la necesidad de suplir la carencia de voces graves.
Suite aux hypothèses et aux questions formulées par Louis Jambou en 1993 à propos de l’interprétation avec instruments des compositions de Tomás Luis de Victoria, nous proposons d’étudier ces aspects à partir de quelques exemples issus des parties séparées manuscrites de deux motets du compositeur : Vidi speciosam. Prima pars et Vere languores. Ces sources appartiennent à un monastère de moniales, où la participation instrumentale répondait au besoin spécifique de compenser le manque de voix graves.
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