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Resumen de Ballspielerinnen auf thessalischen Münzen. Ein Zeitvertreib als öffentliche Angelegenheit?

Jochen Griesbach

  • English

    A series of silver oboloi from Larisa (late 5th c. B.C.) depict a young woman on the back side playing with a ball in various postures. She is commonly identified with the eponymous nymph of the polis, primarily because of the testimony of the Suda stating that Larisa drowned in the river Peneios during a ball game. However, the back side of one of the silver coins from the city of Trikka, stamped in the same period, depicts also a young woman dropping a ball. Despite the similarity this image cannot represent the same mythological figure. In a wider perspective ancient Greek literary and iconographic traditions reveal the theme of maidens playing with a ball as a widespread symbolic topos of their attractiveness by emphasizing the graceful motion. Bearing this in mind one can notice that many Thessalian coin images of the Classical period concur in focusing frequently on appealing gender roles regarding women as well as men of nubile age. Hence this paper argues that these coin images from Thessaly advertise role models shared all over the Greek world visualizing by this means a kind of landscape identity: not only to be proud of its famous horses but also of its beautiful and brave young people.

  • français

    Une série d’oboloi en argent provenant de Larisa (fin ve siècle av. J.-C.) présente sur leur revers une jeune femme jouant avec une balle en adoptant différentes postures. Elle est d’ordinaire identifiée à la nymphe éponyme de la polis à cause principalement du témoignage de la Suda indiquant que Larisa se serait noyée dans la rivière Peneios lors d’une partie de jeu de balles. Cependant, le revers d’une des pièces d’argent de la cité de Trikka, frappée à la même époque, montre aussi une jeune femme jouant avec une balle. En dépit de la similarité, cette image ne peut pas représenter la même figure mythologique. De manière plus large, les traditions littéraires et iconographiques grecques déclinent le thème des jeunes filles jouant à la balle comme un topos symbolique de leur séduction en insistant sur la grâce de leurs mouvements. En gardant cela à l’esprit, on peut relever que de nombreuses monnaies thessaliennes montrent un modèle idéal, féminin et masculin. Cet article propose d’y reconnaître une sorte d’identité culturelle diffusée dans l’ensemble du monde grec pour exprimer non seulement la fierté de leurs célèbres coursiers mais aussi la beauté et la bravoure de leur jeunesse.


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