L'auteur propose que le droit à l'envrironnement soit considéré comme un réel droit de l'homme. En plus du bilan défavorable des deux types antérieurs de droit de l'homme, ceux appelés de la première et de la deuxième génération, soit les droits individuels et les droits sociaux, l'application, la formulation et le développement du droit à l'enviromment présentent des difficultés supplémentaires: l'imprécision du concept et sa possibilité réelle d'être reconnu en tant que droit. Les anciennes catégories sont insuffisantes et il faut les élargir à l'univers des rapports entre l'homme et la nature. La seconde partie de l'article montre que la notion du droit à l'environnement comme droit de l'hommbre devra se développer à partir de traites et d'accords. L'auteur attire l'attention sur les applications concrètes de tels accords (accords du GATT, Traité instituant l'Oraganisation mondiale du commerce-OMC). Ainsi, les accords internationaux sur le commerce et sur les contradicitions produites par la mise en oeuvre des principes du néolibéralisme, limitent-ils sévèrement les applications des premières déclarations internationales sur le droit à l'environnement.
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