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Beware the source text: five (re)translations of the same work, but from different source texts

    1. [1] University of Turku

      University of Turku

      Turku, Finlandia

  • Localización: Meta: Journal des traducteurs = translators' journal, ISSN 0026-0452, Vol. 65, Nº. 2 (août 2020), 2020, págs. 312-331
  • Idioma: inglés
  • Enlaces
  • Resumen
    • español

      Aunque consiste en un concepto central en traductología, el texto fuente, ha quedado un término definido de manera vaga, lo que dificulta la identificación del texto fuente de las traducciones et por ende acarrea problemas para la investigación. Asociar las traducciones a textos fuentes erróneos lleva a categorizaciones y conclusiones poco confiables, sobre todo cuando se estudian los tipos de traducción definidos y teorizados con referencia a sus textos fuentes, tales como la retraducción, la traducción indirecta, la seudotraducción y la autotraducción. Nuestro estudio de caso de cinco traducciones fineses de Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne demuestra que estas supuestas retraducciones tienen diferentes textos fuentes. Adoptamos los conceptos obra y texto con el fin de determinar las relaciones entre las traducciones y los textos fuentes estudiados:

      textos son representaciones de una obra, y una obra, a su vez, es una creación literaria implicada por sus diversos textos. A pesar de tener textos fuentes diferentes, las cinco traducciones fineses son, al igual que sus textos fuentes, textos de la misma obra. En otras palabras, si el texto fuente es un texto, lea cinco traducciones no son, en sentido estricto, retraducciones; sin embargo, si el texto fuente es una obra, son retraducciones de la misma obra. Por consiguiente, la categorización de estas traducciones, así como los puntos de vista a partir de los cuales se pueden estudiar, dependen de la definición del texto fuente como texto o como obra.

    • English

      Source text (ST), although a central concept in translation studies, has remained vaguely defined. This complicates the identification of a translation’s ST, which in turn creates problems for research. Associating translations with the incorrect ST(s) leads to questionable conclusions and categorizations, especially when dealing with the types of translation that are defined and theorized with reference to their relationship with their ST(s), such as retranslation, indirect translation, pseudotranslation and self-translation. Our case study of five Finnish translations of Jules Verne’s Vingt mille lieues sous les mer demonstrates that these assumed retranslations have different STs. We adopt the notions of work and text to establish the relationships among the translations and STs involved: texts are representations of a work, and a work, in turn, is a literary creation implied by its various texts. Although the five Finnish translations have different source texts, they are all – as are their STs – texts of the same work. In other words, if source text is understood to be a text, the five translations are not, strictly speaking, retranslations; however, if source text is understood to be a work, then they are all retranslations of the same work.

      Therefore, the categorization of these translations – and thus also the points of view from which they can be studied – depends on whether source text is defined as a text or as a work.

    • français

      Le texte source, bien qu’un concept central en traductologie, reste un terme défini de manière vague. Ceci rend difficile l’identification du texte source des traductions, ce qui crée des problèmes pour la recherche. Associer les traductions aux faux textes sources mène à des conclusions et catégorisations douteuses, surtout lorsqu’on traite les types de traductions définis et théorisés en référence à leurs liens avec leurs textes sources, tels que la retraduction, la traduction indirecte, la pseudo-traduction et l’auto-traduction. Notre étude de cas de cinq traductions finnoises de Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne démontre que ces retraductions supposées ont différents textes sources. Nous adoptons les concepts oeuvre et texte afin d’établir les relations parmi les traductions et les textes sources concernés : textes sont des représentations d’une oeuvre, et une oeuvre, à son tour, est une création littéraire qui est impliquée par divers textes. Bien que les cinq traductions finnoises aient des textes sources différents, elles sont toutes – et leurs textes sources également – textes de la même oeuvre. En d’autres termes, si le texte source est un texte, les cinq traductions ne sont pas, au sens strict, des retraductions ; cependant, si le texte source est une oeuvre, ils sont des retraductions de la même oeuvre. Par conséquent, la catégorisation de ces traductions – et donc aussi les points de vue à partir desquels ils peuvent être étudiés – dépend de la définition du texte source comme un texte ou comme une oeuvre.


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