L’expérience haïtienne de l’impérialisme et de l’anti-impérialisme s’inscrit dans le temps long de la révolution (1804) et le temps court marqué, à partir du coup d’État de 1991, par une véritable surenchère interventionniste. La mainmise étatsunienne s’explique aussi par l’implication active, l’incitation même, d’agents locaux. La résistance du mouvement social haïtien est à la mesure du contrôle et de l’oppression exercés par l’international.
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