De la posture mesurée du rapporteur public certains on dit qu’elle était naïve. Une telle réaction de personnalités politiques à l’égard d’une question relative au voile islamique n’a rien d’étonnant, mais la réponse, en partie contraire aux conclusions, apportée par le Conseil d’État, quant à elle, l’est véritablement. Il se pourrait que cette décision marque une évolution remarquable de la jurisprudence administrative relative à l’expression par le vêtement des convictions religieuses.
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