Les actes de vandalisme commis sur des œuvres d’art, comme récemment celle de Miriam Cahn, témoignent d’une forme de régression narcissique au sein de nos sociétés démocratiques. Certains, convaincus de détenir la vérité, se donnent le droit de l’imposer de manière violente. Pour éviter l’affrontement de vérités indiscutables, il faut rétablir un sens collectif du bien commun.
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