Ayuda
Ir al contenido

Dialnet


Determinación de la huella de carbono generada por la gestión de espacios verdes en la ciudad de Tandil, argentina

    1. [1] Centro de Investigaciones y Estudios Ambientales (CINEA)
  • Localización: Revista Gestión I+D, ISSN-e 2542-3142, Vol. 8, Nº. 2, 2023 (Ejemplar dedicado a: julio- diciembre- 2023), págs. 136-160
  • Idioma: español
  • Títulos paralelos:
    • Détermination de l'empreinte carbone générée par la gestion des espaces verts de la ville de Tandil, Argentine
    • Determining the carbon footprint caused by managing green spaces in the city of Tandil, Argentina
  • Enlaces
  • Resumen
    • español

      Las ciudades producen diversidad de residuos, algunos de los cuales, como los orgánicos, mal gestionados pueden generar emisiones de Gases Efecto Invernadero que favorecen el cambio climático global. Se consideraron las actividades de mantenimiento de los espacios verdes públicos y jardines privados en 2019, en Tandil, una ciudad media de 150.000 habitantes ubicada en el SE de la provincia de Buenos Aires y se determinaron las contribuciones directas e indirectas de emisiones de gases efecto invernadero de esos residuos. Para contabilizar las emisiones se empleó la metodología PAS 2050 internacionalmente utilizada para la certificación de gases efecto invernadero en el contexto del Ciclo de Vida de productos y servicios. Las emisiones equivalentes en toneladas de carbono se obtuvieron a partir de datos vinculados a la generación, composición y tratamiento de estos residuos en el ámbito público y privado. Se realizaron encuestas a los prestadores privados del servicio y entrevistas en el área de gestión de espacios verdes del municipio. Se obtuvo como resultado una huella de carbono de la gestión de las áreas verdes urbanas y jardines de 425,28 TCO2. El mayor porcentaje de esas emisiones corresponde a las emisiones indirectas asociadas al transporte y funcionamiento maquinarias de poda (gasoil y nafta). Le siguen las emisiones asociadas al riego por bombeo de agua desde el acuífero subterráneo que es transportada a destino en camiones. Y en tercer lugar, se encuentran las contribuciones directas de los residuos de poda y mantenimiento -restos de césped, hojas, ramas y arbustos

    • English

      Cities produce a diversity of waste, such as organic waste, which, when poorly managed, can generate Greenhouse Gas Emissions (GGE) that contribute to global climate change. The maintenance activities of public green spaces (GS) and private gardens in 2019 were considered in Tandil, an average city of 150,000 inhabitants located in the SE of the province of Buenos Aires, and the contributions of direct and indirect GGE from this waste were determined. The PAS 2050 methodology, used internationally for GGE certification purposes in the context of the Life Cycle of products and services, was used to account for the emissions. The equivalent emissions in tons of carbon were obtained from data related to the generation, composition, and treatment of this waste in the public and private spheres. Surveys were applied to private service providers and interviews with the ​​management of green spaces in the municipality. As a result, a carbon footprint of green spaces and garden management of 425.28 TCO2 was obtained. The highest percentage of these emissions corresponds to indirect emissions associated with transporting and operating pruning machinery (diesel and gasoline). This is followed by emissions associated with irrigation by pumping water from the underground aquifer that is transported to its destination by truck. And in third place, there are the direct contributions of pruning and maintenance residues - grass clippings, leaves, branches, and shrubs

    • français

      Les villes produisent divers déchets, dont certains, comme les déchets organiques, peuvent, s'ils sont mal gérés, générer des émissions de gaz à effet de serre qui contribuent au changement climatique mondial. Nous avons examiné les activités d'entretien des espaces verts publics et des jardins privés en 2019 à Tandil, une ville moyenne de 150.000 habitants située au sud-est de la province de Buenos Aires, et déterminé les contributions directes et indirectes des émissions de gaz à effet de serre provenant de ces déchets. La méthodologie PAS 2050, utilisée au niveau international pour la certification des émissions de gaz à effet de serre dans le cadre du cycle de vie des produits et des services, a été utilisée pour comptabiliser les émissions. Les émissions équivalentes en tonnes de carbone ont été obtenues à partir des données liées à la production, à la composition et au traitement de ces déchets dans les secteurs public et privé. Des enquêtes ont été menées auprès des prestataires de services privés et des entretiens ont été réalisés avec le service de gestion des espaces verts de la municipalité. Il en résulte une empreinte carbone de 425,28 TCO2 provenant de la gestion des espaces verts et des jardins urbains. Le plus grand pourcentage de ces émissions correspond aux émissions indirectes associées au transport et au fonctionnement des machines d'élagage (diesel et naphta). Viennent ensuite les émissions liées à l'irrigation par pompage de l'eau de la nappe phréatique qui est transportée par camion jusqu'à sa destination. Enfin, les déchets d'élagage et d'entretien (herbe coupée, feuilles, branches et arbustes) contribuent directement à ces émissions


Fundación Dialnet

Dialnet Plus

  • Más información sobre Dialnet Plus

Opciones de compartir

Opciones de entorno