Ruptura e divergência na evolução recente do pastoreio na Serra do Alvão

• Carlos Alberto Medeiros ^[1] ; Isabel Marques Medeiros ^[1]
  1. [1] (I.N.I.C.) Lisboa
• Localización: Ler história, ISSN-e 2183-7791, ISSN 0870-6182, Nº. 18, 1990, págs. 97-109
• Idioma: portugués
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  • Texto Completo Ejemplar
• Resumen
  • English

    The evolution of common lands (baldios) in Portugal was disturbed by the Sate mediation in 1938, which resulted in the arborization of vast areas in the mountains. With the 25th ofApril revolution in 1974, these common lands were returned to the communities, but due to new economical and demographical conditions, naturally a simple sequence of the situation before 1938 was not observed. In this article some aspects of the occured evolution in the mountain of Alvão (1280 m), in the west ofTrás-os-Montes, are studied, and the differences among the several villages are pointed out. For example, there were alterations in the generalized decrease of goat numbers, that were not registered in Lamas de 010, where forests were not installed. Since 1974, that number has increased in inequal rythms. Certain complementary forms among the lower areas and the mountain (cows fattening in the latter, cattle movements) have disappeared, especially because the available space has decreased (due to the increasement of forests) in relation to cattle breeding.

  • français

    L'évolution des communaux au Portugal a été perturbée depuis 1938 par l'entremise de l'État qui a conduit le reboisement de grandes surfaces dans la montagne. Avec le changement politique du 25 avril1974, les communaux on t été resti tués aux villages, mais étant donné que les conditions économiques et démographiques étaient tout à fait différentes, l'évolution qui s'y est vérifiée n' a pas repris les tendances préalables à 1938. Dans cet article, les auteurs étudient quelques aspects du probleme dans la montagne de Alvão (1280m), à l'ouest de Trás-os-Montes, en insistant sur les différences enregistrées dans quelques villages. Par exemple, il y a eu des nuances en ce qui concerne la diminution du nombre de chêvres vérifiée un peu partout, mais qui n'a pas eu lieu à Lamas de Olo, ou les communaux n'ont pas été occupé par les forêts. Apres 1974, les troupeaux de chêvres ont augmenté inégalement. Certaines formes de complémentarité existantes entre des lieux situés plus bas et d'autres situés dans la montagne (engraissement des vaches dans celle-ei, mouvements du bétail) ont disparu. Cela est dü en bonne partie à la diminutionde 1'espace disponible par rapport au cheptel, parce que les forêts se sont élargies.