The aim of this paper is not only to explain the meaning of an epic medieval pattern, but also to study a problem linked to reference. In the pattern « Dieu qui fit parler l’image », the definite article has been analyzed, in precedent studies, as an element introducing a well known object at the time of the texts. This paper wants to offer proofs that the determinant in the sequence « l’image » has another value, an anaphorical associative one.
On tentera, tout en élucidant le sens d’une structure formulaire propre aux chansons de geste, de traiter un problème de référence, liée à l’emploi de l’article défini. Dans une interprétation ancienne, qui a acquis valeur de tradition, l’objet déterminé, « l’image » a été compris comme un élément connu de tous et facilement accessible dans l’univers de pensée en question. Cette étude critique cette analyse et énonce les critères qui prouvent qu’il s’agit d’une anaphore associative.
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