À la faveur d’un projet de corpus d’instrumentum inscriptum et de la mise en œuvre d’un nouvel outil numérique, la révision d’un certain nombre d’inscriptions sur fibules permet de suggérer de nouvelles restitutions et relectures, en particulier pour des noms de fabricants. Il semble qu’au début de l’époque impériale, la majorité des artisans produisant ces objets porte des noms celtiques (souvent abrégés), que les nouveaux répertoires onomastiques permettent désormais de restituer. Ces quelques exemples mettent en valeur l’apport des objets inscrits à l’épigraphie du quotidien, une source majeure pour l’étude des couches les plus modestes de la société antique.
The revision of some inscriptions on brooches, thanks to a projected corpus of instrumentum inscriptum and the implementation of a new digital tool, allows to suggest new restitutions and readings, in particular for the makers names. It seems that, at the beginning of the imperial period, the majority of the craftsmen producing these objects bore Celtic names, often abbreviated, which new onomastic repertoires now allow to restore. These few examples highlight the contribution of inscribed objects to the ep
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