L’offre pédagogique francophone de Barcelone vit un tournant dans les années 1960 : au lycée français, l’arrivée d’un nouveau proviseur, avec pour projet de le franciser, provoque des divergences. En 1968, une partie du personnel et des élèves le quitte pour fonder Aula, égratignant durablement son image. Des divergences apparaissent à leur tour dans cette nouvelle école, qu’une professeure quitte pour fonder en 1969 l’école Bon Soleil. Ces successions de désaccords contribuent à renforcer l’influence française, le nombre d’élèves étudiant en français ou selon la méthode française augmentant considérablement à partir des années 1970.
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