Arrondissement de Bordeaux, Francia
Maria Cabrera and Maria Sevilla have played a crucial role in contemporary catalan poetry in recent years. Their writing can be compared because the two poets share an interest for orality and rhythm; transtextuality and queer questioning. This paper attempts to read and analyse some poems in La ciutat cansada by Maria Cabrera and Dents de polpa by Maria Sevilla: the starting point of which will be Jacques Derrida’s concept of distance from his texts on women’s writing.
Parmi les voix qui émergent dans la poésie catalane contemporaine, celles de Maria Cabrera et de Maria Sevilla tiennent un rôle particulier. L’oralité et le rythme de leurs écritures, le rapport que toutes deux entretiennent à la transtextualité et aux questionnements queer, permettent de les rapprocher. L’article propose une lecture de quelques poèmes de La ciutat cansada de Maria Cabrera et Dents de polpa de Maria Sevilla, et tente une analyse à partir de l’idée de distance, centrale dans les textes que Jacques Derrida a consacrés à l’écriture féminine.
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