I fluidi corporei in Celso e Scribonio Largo

• Sergio Sconocchia ^[1]
  1. [1] University of Trieste

     University of Trieste

     Trieste, Italia

     
• Localización: Pallas, ISSN 0031-0387, Nº. 113 (Actes du XIIe Colloque international sur les textes médicaux latins, Messine, 22-24 septembre 2016), 2020 (Ejemplar dedicado a: I fluidi corporei nella medicina e nella veterinaria latine. Dottrine, lessico, testi), págs. 17-40
• Idioma: italiano
• Títulos paralelos:
  • Les fluides corporels chez Celse et Scribonius Largus
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• Resumen
  • English

    In De Medicina, as in the Compositions, where attestations are less frequent given the more limited extension of the work, there are numerous claims of bodily fluids. Along with footage of the great ancient Greek tradition (from Hippocrates to Asclepiade and Temisone) there are also references to contemporary physicians and surgeons. Bodily fluids, especially bilis (atra or rufa), pituita, sanguis, sudor, urina, found in Celsus and Scribonius, are generally a sign of good physical health. They can often be used for therapeutic purposes. On the other hand, sometimes, in their possible imbalance, they are symptomatic and cause (especially urina, sanguis, but also pituita) of pathological alteration from which the physicians can have diagnosis and prognosis. Especially bilis, pituita and sanguis are reported frequently in parallel with Hippocrates by Friedrich Marx for Celsus and by Sergio Sconocchia for Scribonius Largus.

  • français

    Dans le De medicina, comme dans les Compositiones, si les exemples sont plus rares étant donné l’extension plus limitée de l’oeuvre, il y a beaucoup de mentions des fluides corporels. À côté des exemples de la grande tradition médicale grecque, ancienne et plus récente (d’Hippocrate à Asclépiade et Thémison) on trouve des références aux médecins et chirurgiens contemporains. Les fluides corporels, en particulier bilis (atra ou rufa), pituita, sanguis, sudor, urina), identifiés chez Celse et Scribonius Largus, sont généralement un signe de bonne santé physique. Ils peuvent souvent être utilisés à des fins thérapeutiques. D’autre part, parfois, leur éventuel déséquilibre fait partie des symptômes et causes concrètes (en particulier urina, sanguis, mais aussi pituita) des changements pathologiques par lesquels le médecin peut tirer le diagnostic et le pronostic. Sans surprise, surtout pour bilis, pituita et sanguis, Friedrich Marx a pu relever des parallèles fréquents avec Hippocrate pour Celse ainsi que Sergio Sconocchia pour Scribonius Largus.