Dans l’œuvre de Jean-Luc Nancy, les rapports entre maladie et monde peuvent être compris de deux manières. D’un côté, la maladie désigne la fragilité immanente de notre monde commun, dont la guerre en Ukraine et la pandémie incarnent la forme la plus aigüe. De l’autre, la maladie fait monde, dans le sens où elle articule des vivants, des institutions, des politiques et des soins.
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