Deux ans de pandémie ont achevé de mettre à mal l’idéal social d’autonomie reposant sur un corps performant. Engagé, souffrant, choisi, le corps contemporain est de plus en plus investi comme support d’identité. Cette réappropriation des corps, loin d’un repli sur l’individu, dessine peut-être une nouvelle frontière politique.
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