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Resumen de Beyond Skin-deep: considering the pig in ancient Greece through the particularities of its skin

Petra Pakkanen

  • English

    The complexity of the pig in Greek antiquity can be traced through the rich vocabulary applied to various porcine animals. This extends to cultural, religious, and symbolic meanings imbedded into the perceived anomalousness of this animal. The religious and ideological role of the pig in antiquity and beyond has been widely studied, but little scholarly attention has been paid to the skin of the animal in ancient studies. In this article pigskin is discussed on two levels, namely practical and conceptual/symbolic. The starting point is the fact that the structure of pigskin is different in comparison to any other mammal skin (with the exception of human skin). The overall purpose is to provide new insights into the skin as an explanatory category which can contribute towards our understanding of the treatment of pigs in Greek antiquity as well as the attitudes towards them and the esteem in which they were held. In the first part of the article the terminological issues pertaining to pigs and pigskin are scrutinised; in the second part sacrificial procedures are looked at more closely through a comparison between a pig sacrifice and a ‘standard’ sacrifice of a non-porcine animal, with a focus on flaying and singeing; in the third part the negative connotations of pigskin as diseased and ‘lepraic’ are considered. Finally, this leads to the last part of the article which considers the socio-cultural and historiographical association of leprosy with pig(skin) as a reason for cultural and social exclusion.

  • français

    La complexité du porc dans l’antiquité grecque est attestée par le riche vocabulaire des espèces de porcins et s’étend aux significations culturelles, religieuses et symboliques qui s’attachent à la prétendue « anormalité » de l’animal. Le rôle religieux et idéologique du porc dans l’antiquité et au-delà a été largement étudié, mais peu d’attention a été réservée par les chercheurs à la peau de l’animal. Le présent article discute la peau du porc à deux niveaux, pratique, d’un côté, conceptuel/symbolique, de l’autre. Le point de départ est le constat que la structure de la peau du porc est différente de celle des autres mammifères (à l’exception de la peau humaine). Il s’agit de présenter de nouvelles approches de la peau en tant que catégorie explicative qui peut contribuer à mieux comprendre le traitement des porcs dans l’antiquité grecque, autant que l’attitude et l’appréciation qu’ils génèrent. La première partie de l’article aborde les questions terminologiques concernant les porcs et leur peau. La deuxième se penche sur les procédures sacrificielles par une comparaison entre sacrifice porcin et sacrifice « standard » d’autres espèces, surtout concernant l’écorchage et le brûlage superficiel. La troisième partie développe et analyse les connotations négatives sur la peau du porc comme étant maladive et lépreuse. Cela mène à la dernière partie qui considère l’association socio-culturelle et historiographique de la lèpre avec le porc (et sa peau) comme raison d’exclusion culturelle et sociale.


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