La plantación de Ulster de principios del siglo XVII, en la que la Corona inglesa buscó colocar colonos británicos leales en el norte de Irlanda, se entiende comúnmente como abiertamente religiosa en intención y acción, y se considera la base de la división actual entre las comunidades protestantes y católicas en Irlanda del Norte. La evidencia arqueológica y documental complica esta narrativa sencilla al demostrar un considerable intercambio cultural y el surgimiento de prácticas híbridas, lo que sugiere que, durante el período de la plantación, la religión puede haber tenido menos influencia que el pragmatismo económico y político. Sin embargo, a fines del siglo XVII, la religión asumió un papel político y cultural más prominente, materializado abiertamente en objetos, patrones de asentamiento y paisajes. La naturaleza y el momento de esta transición se examinan a través de estudios de casos arqueológicos y se consideran a la luz de las memorias históricas contemporáneas sobre la plantación y los orígenes del sectarismo en Irlanda.
The early 17th-century Plantation of Ulster, in which the English Crown sought to plant loyal British colonists in the north of Ireland, is commonly understood as overtly religious in intent and action, and is viewed as the foundation for today’s divide between Protestant and Catholic communities in Northern Ireland. Archaeological and documentary evidence complicates this straightforward narrative by demonstrating considerable cultural exchange and the emergence of hybrid practices—suggesting that, during the plantation period itself, religion may have been less influential than economic and political pragmatism. By the end of the 17th century, however, religion took on a more prominent political and cultural role, overtly materialized in objects, settlement patterns, and landscapes. The nature and timing for this transition is examined through archaeological case studies and considered in light of contemporary historical memories regarding the plantation and the origins of sectarianism in Ireland.
La Plantation d'Ulster au début du 17ème siècle, au sein de laquelle la Couronne anglaise a entrepris d'implanter des colons britanniques loyaux dans le nord de l'Irlande, est habituellement considérée comme ouvertement religieuse dans ses intentions et ses actions. Elle est vue comme le fondement de la division actuelle entre les communautés protestante et catholique en Irlande du Nord. Les preuves archéologiques et documentaires viennent compliquer cette narration simpliste en démontrant un échange culturel considérable et l'émergence de pratiques hybrides—suggérant que, durant la période de la plantation elle-même, la religion ait pu exercer une moindre influence par rapport au pragmatisme économique et politique. Cependant, au terme du 17ème siècle, la religion a joué un rôle politique et culturel plus dominant, matérialisé de manière évidente dans les objets, les modèles d'implantion et les paysages. La nature et la temporalité de cette transition sont examinées dans le cadre d'études de cas archéologiques et envisagées à la lumière de mémoires historiques contemporaines relatives à la plantation et aux origines du sectarisme en Irlande.
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