El artículo es fruto de una aportación del autor al Octavo congreso internacional de la Asociación Internacional para la Formación, la Investigación y la Intervención social (AIFRIS), celebrado en Beirut, Líbano, los días 2-5 de julio 2019 con el tema “Sociedades plurales, trabajo social y vida común”. Aborda la resolución de la crisis anglófona que sacude desde octubre 2016 las regiones angófonas de Camerún, concretamente Nordeste y Sudeste. En la prolongación a esta aportación científi ca, el autor fue invitado a formar parte de los cincuenta, formados como Defensores para la Paz en Camerún, al fi nal de una sesión celebrada a Buea el 3 de diciembre de 2019. La misión de este grupo est contribuir a la resolución pacífi ca de los confl ictos en Camerún.
Le présent article est le fruit de ma contribution au 8ème congrès international de l’Association Internationale pour la Formation, la Recherche et l’Intervention Sociale (AIFRIS) tenu à Beyrouth au Liban du 2 au 5 juillet 2019 sur le thème :”Sociétés plurielles, Travail social et Vivre ensemble”. Cet article est par ailleurs ma contribution à la résolution de la crise anglophone qui secoue depuis octobre 2016 les régions d’expression anglaise du Cameroun,notamment le Nord-Ouest et le Sud-Ouest. Dans le prolongement de cette participation scientifi que, j’ai été invité à faire partie des 50 personnes formées comme Défenseurs de la Paix au Cameroun au terme d’une session à Buea le 3 décembre 2019. La mission de ce groupe de personnes est de contribuer à la résolution pacifi que des confl its au Cameroun.
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