L’absence de commémoration autour du massacre de Srebrenica cristallise le renoncement des démocraties occidentales à défendre le droit humanitaire international, vu aujourd’hui comme une contrainte et non plus comme un garde-fou. Il est pourtant essentiel d’entretenir cette mémoire afin de préserver les acquis douloureux du xxe siècle en matière de justice internationale.
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