Following Husserl, it has become customary to interpret the contemporary crisis of exact sciences as a conflict within the hierarchy of being inheited from the Greeks. Some examples borrowed from both Galilean and post-Galilean physics suggest the possibility of a critical re-examination of this interpretation. Deploying the full implication of Kant's method in the transcendental dialectic, it becomes possible to articulate a sense of aporias found in physics which is never sundered from their original encroachment on the immediate appearances of the sensible world. 'Crisis' then means the post-Galilean recognition that a project of amplification of world experience has failed to ripen; Galileo himself had initially formulated such a project by renewing the Platonic foundation of knowledge in connection with the problem of light.
À la suite de Husserl, il est convenu d'interpréter la crise des sciences exactes à l'époque contemporaine comme un conflit à l'intérieur de la hiérarchie de l'être héritée des Grecs. Une reprise et un élargissement de cette interpretation sont suggérés par certains exemples empruntés à la physique depuis Galilée. On peut dégager un sens des apories rencontréesen physique qui reste proche des apparences immédiates du monde sensible si du moins la méthode kantienne de la dialectique transcendentale est suivie dans toutes ces implications. Par 'crise', il faut dès lors entendre que le développement de la physique post-galiléenne entérine un échec au projet d'amplification de l'expérience du monde, projet que Galilée avait lui-même formulé en renouvelant la problématique platonicienne de la lumière.
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