Dans le "Cymbalum mundi", Mercure, alias Jésus, est présenté comme un magicien. C’est comme tel qu’il s’emploie, au 3e dialogue, une mystérieuse formule pour faire parler un cheval. Or cette formule, dûment traduite, présente une étrange parenté avec un refrain parfois employé, lors des fêtes de l’âne, pour faire chanter cet équidé.
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