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La génesis del pensamiento

  • Autores: Miguel Espinoza Verdejo
  • Localización: Scripta Philosophiæ Naturalis, ISSN-e 2258-3335, Nº. 8, 2015, págs. 65-78
  • Idioma: español
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  • Resumen
    • English

      THE GENESIS OF THOUGHT. — The main proposition states that human thought is a modification of animal thought, which is a modification of vegetal thought, which is, in its turn, a modification of inorganic thinking. All these are different modes of presentation of what I call “primordial thought”. Now this idea follows from the four following theses concerning the genesis of every natural process: (I) the principle of causal determinism: the universe is a network of causes of several kinds, thus (II) it is impossible for a system or process to be a sharp novelty in its relationship to the set of systems or processes from where it emerges. (III) In ordinary or scientific language the description of an absolute novelty is impossible. Even if there was an absolute novelty, it will be ineffable.

      Finally, (IV) our contemporary way of conceiving the natural hierarchy, from subatomic particles to human society, is only provisional, since we do not have, at least not yet, the concepts suitable for its description

    • français

      LA GENÈSE DE LA PENSÉE. — La proposition principale stipule que la pensée humaine est une modification de la pensée animale, qui est à son tour une modification de la pensée végétale, laquelle est une modification de la pensée inorganique, des pensées qui sont toutes, des modes différents de présentation de ce que j’appelle «la pensée primordiale». Cette idée découle des quatre thèses suivantes concernant la genèse de tous les processus naturels : (I) le principe du déterminisme causal : l’univers est un réseau serré de causes de plusieurs ordres, d’où il suit que (II) aucun système, aucun processus n’est une nouveauté abrupte par rapport aux systèmes ou aux processus qui lui donnent naissance. (III) En langage usuel ou scientifique, la description d’une nouveauté absolue est impossible. Ainsi, même s’il y avait une nouveauté absolue, elle serait ineffable. Finalement, (IV) notre façon actuelle de concevoir la hiérarchie naturelle, depuis les particules subatomiques et jusqu’à la société humaine, est seulement provisoire car nous n’avons pas, ou pas encore, les concepts appropriés pour sa description.


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