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Tempête Xynthia à la Faute-sur-Mer : une analyse a posteriori de l’impact des « zones noires » et des alternatives possibles

    1. [1] Pierre and Marie Curie University

      Pierre and Marie Curie University

      París, Francia

  • Localización: Norois, ISSN-e 1760-8546, ISSN 0029-182X, Nº. 251, 2019, págs. 43-63
  • Idioma: francés
  • Títulos paralelos:
    • Storm Xynthia at La Faute-sur-Mer: an ex-ante analysis of consequences of resettlement and alternative scenarios
  • Texto completo no disponible (Saber más ...)
  • Resumen
    • English

      In February 2010, La Faute-sur-Mer municipality (Vendée) was hit by Storm Xynthia. 29 deaths occurred (over a population of 1 008 inhabitants), all recorded inside residential houses where people were trapped. French government decided to buy and destruct houses which were considered as too dangerous and the municipality lost 552 houses (over 3 737). This policy was criticized for its high cost as well as it impacted the municipality for long term. Using VIE index methodology, this research aims to highlight that alternative scenarios were possible in order to improve efficiency to protect human lives, reduce costs and maintain people. Applying simultaneously prevention, architectural adaptation and resettlement would have offered a better result to reduce building’s vulnerability for people for a cost two time lower and allowing to maintain 70% of buildings destroyed after the Storm.

    • français

      En février 2010, la commune de La Faute-sur-Mer (Vendée) est durement impactée par la tempête Xynthia. 29 personnes décèdent (pour une population de 1 008 habitants), piégées à l’intérieur de chez elles. Face à ce constat, l’État décide le rachat et la destruction des constructions jugées les plus dangereuses entrainant la disparition de 552 maisons (sur 3 737 habitations). La commune est ainsi doublement touchée par Xynthia. La Cour des Comptes se montre critique quant aux sommes engagées pour cette mesure qu’elle qualifie d’« une utilisation inefficace des fonds publics. » En utilisant la méthodologie de l’indice VIE, cette recherche montre que des alternatives étaient possibles permettant à la fois de réduire efficacement la vulnérabilité des constructions pour leurs occupants, maintenir un maximum de logements sur la commune, tout en maîtrisant les dépenses publiques. Ainsi, envisager simultanément un renforcement de la prévention, l’adaptation architecturale des constructions et la relocalisation auraient permis de supprimer l’intégralité des constructions dangereuses pour un coût deux fois inférieur (76 millions contre 160 pour les « zones noires ») tout en maintenant 70 % des constructions détruites après Xynthia.


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