Resumen de Varda's Gift of Postcards
- español
La postal es un elemento recurrente a lo largo de la obra de Agnès Varda. La cineasta ha mostrado parte de sus colecciones en sus películas y video instalaciones en varias ocasiones. Una canta, la otra no (1976) es la obra en la que estas desempeñan una función narrativa determinante. Como han señalado los investigadores en el campo del estudio de las tarjetas postales, estas no solo son un medio de comunicación, sino también una señal de vida y una confirmación de amistad, así como un souvenir o un don. El objetivo de este artículo es reflexionar sobre cómo algunos episodios de los últimos films de no ficción de la cineasta, Dos años después (2002) y el documental de cinco partes Agnès par ci par là Varda (2008-2011), pueden ser considerados como un signo de amistad o como un souvenir. Por último, el artículo tratará de dilucidar igualmente si, y en qué sentido, los films de Varda pueden ser apreciados como dones.
- English
Postcards are prominent throughout Varda’s oeuvre and she has displayed parts of her postcard collections on several occasions in her films and video installations. Her movie in which postcards play the most important narrative role is One Sings, the Other Doesn’t (1976). As researchers in the field of postcard studies have pointed out, postcards are not only a means of communication, but also a sign of life or a confirmation of friendship, as well as a souvenir or a gift. The objective of this article is to reflect on how the self-contained episodes in some of Varda’s later non-fiction films, The Gleaners and I… Two Years Later (2002) and her five-part documentary Agnes Varda: From Here to There (2008-2011), can be regarded as a sign of friendship or as souvenir. And last but not least, whether and in what way could one also appreciate Varda’s films as a gift.
- français
La carte postale occupe une place prépondérante dans l’œuvre d’Agnès Varda et elle a exposé à plusieurs reprises des parties de ses collections de cartes postales dans ses films et ses installations vidéo. L’une chante, l’autre pas (1976) est le film dans lequel la carte postale a une importante fonction narrative. Or, comme l’ont souligné des chercheurs dans le domaine de l’étude des cartes postales, elles ne sont pas seulement un moyen de communication, mais également un signe de vie ou une confirmation d’amitié, un souvenir ou encore un don. L’objectif de cet article est de réfléchir à la manière dont certains épisodes autonomes dans quelques de ses derniers films, Les Glaneurs et la Glaneuse… deux ans après (2002) et Agnès de ci de là Varda (2008-2011), peuvent être considérés comme un signe d’amitié ou comme un souvenir. Finalement, on tentera également d’élucider si, et de quelle manière, certains films de Varda pourraient être appréciés comme des dons.
