Ayuda
Ir al contenido

Dialnet


Émissions de gaz à effet de serre de la production combinée de lait et de viande

    1. [1] Haute école des sciences agronomiques, forestières et alimentaires HAFL. Zollikofen. Suisse
    2. [2] Institut für Betriebswirtschaft und Agrarstruktur, Bayerische Landesanstalt für Landwirtschaft LFL. Munich. Alemania
  • Localización: Recherche agronomique suisse, ISSN 1663-7917, Vol. 10, Nº. 11-12, 2019, págs. 440-445
  • Idioma: varios idiomas
  • Títulos paralelos:
    • Greenhouse gas emissions from coupled dairy-beef production in Switzerland
    • Emissioni di gas serra dalla produzione combinata di latte e carne in Svizzera
  • Enlaces
  • Resumen
    • italiano

      La produzione combinata di latte e carne nel settore bovino riveste in Svizzera una grande importanza. Nel presente studio, usando dati di riferimento svizzeri, sono state modellizzate le emissioni di gas serra per mucca e anno per diversi livelli di produttività lattiera e carnea. Inoltre, sono state indagate le conseguenze sulle emissioni di gas serra dell’uso combinato di seme sessato e seme di razze da ingrasso. Le analisi hanno mostrato che il rapporto tra la produzione di latte e quella di carne di una mucca a duplice attitudine (circa 24) è quasi uguale a quello della produzione svizzera del 2017 e degli anni precedenti. Considerando solo la produttività lattiera, le emissioni di gas serra per anno e mucca di riferimento calano da 9226kg (mucca a duplice attitudine) a 5842kg (mucca ad alto rendimento) di CO2e.

      Invece, se si considera sia la produttività lattiera che la resa di carne, le emissioni di CO2 delle mucche a duplice attitudine restano più basse rispetto a quelle delle mucche da latte. Tuttavia, se nelle mucche da latte si fa un utilizzo sistematico di seme sessato per la rimonta e si ricorre alla genetica di razze da ingrasso per tutte le restanti inseminazioni, allora le emissioni di CO2 generate da una produzione lattiera annuale di 10000kg (8787kg CO2e) calano addirittura al di sotto delle emissioni di una mucca a duplice attitudine. Per proteggere il clima sarebbe quindi opportuno impiegare sempre seme sessato per la rimonta e genetica di razze da ingrasso per le altre inseminazioni. Nelle zone montane e nelle aziende agricole biologiche l’utilizzo di razze a duplice attitudine si dimostra conveniente

    • Multiple

      En Suisse, la production combinée de lait et de viande dans le secteur du bétail bovin est d’une importance considérable. La présente étude a modélisé les émissions de gaz à effet de serre (GES) par vache et par année à l’aide de données de référence suisses, en tenant compte des différents niveaux de performance laitière et des rendements en viande. L’impact sur les émissions de GES d’une utilisation combinée de semence sexée et de matériel génétique de races à viande a en outre été évaluée.

      Les analyses ont montré que le rapport entre production de lait et de viande d’une vache à deux fins avoisine les 24 (24 kg de lait pour 1 kg de viande), ce qui est proche du ratio de la production suisse, tant en 2017 que les années précédentes. Sous l’angle de la performance laitière uniquement, les émissions de GES par vache de référence et par année sont plus élevées pour une vache à deux fins (9226 kg d’équivalent CO2) que pour une vache à haut rendement (5842 kg). Cependant, sous l’angle de la performance à la fois laitière et bouchère, les émissions de CO2 des vaches à deux fins sont plus faibles que celles des vaches de type laitier. En revanche, si les vaches laitières sont inséminées avec de la semence sexée pour la remonte et avec du matériel génétique de races à viande pour toutes les autres saillies, alors les émissions de CO2 des vaches ayant une performance laitière annuelle de 10000 kg (soit 8787 kg d’équivalent CO2) sont inférieures à celles des vaches à deux fins. Pour ménager le climat, les programmes d’insémination devraient combiner rigoureusement l’emploi de semence sexée et de matériel génétique de races à viande. Dans les régions de montagne ou les exploitations biologiques, il est judicieux de travailler avec des races à deux fins.

    • English

      Coupled dairy-beef systems are of major significance in Switzerland’s cattle sector.

      Using Swiss reference data, the present study modelled greenhouse gas emissions per cow and year for a range of different milk and meat yield levels. The study also determined the impact on greenhouse gas emissions of using a combination of sexed semen and beef bull semen respectively on dairy cows. The results have shown that the ratio of milk to meat production of a dual-purpose cow (around 24) corresponds almost exactly to the ratio in Swiss production overall in 2017 and in the years prior. Taking only milk yield into account, the greenhouse gas emissions per reference cow and year fall from 9,226kg CO2eq. (dual-purpose cow) to 5,842kg CO2eq.

      (high-yielding cow). Taking both milk and meat yields into account, the CO2 emissions of dual-purpose cows are lower than those of dairy cows. However, if for the insemination of dairy cows sexed semen is consistently used to produce replacements and beef bull genetics are used for all other inseminations, CO2 emissions at an annual milk yield of 10,000kg (8,787kg CO2eq.) are even lower than the emissions caused by a dual-purpose cow. For reasons of climate change mitigation, inseminations should consistently be carried out using sexed semen for replacements and beef bull genetics in other cases.

      For producers in mountain areas and for organic holdings the utilisation of dual-purpose breeds is expedient.


Fundación Dialnet

Dialnet Plus

  • Más información sobre Dialnet Plus

Opciones de compartir

Opciones de entorno