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After Death, Death: The Mechanics of Longing in Henry Carrington's «The Siren»

    1. [1] University of Belgrade

      University of Belgrade

      Serbia

  • Localización: Amaltea: revista de mitocrítica, ISSN-e 1989-1709, Nº. 11, 2019 (Ejemplar dedicado a: Mito y mujeres: virtuosas y perversas), págs. 71-86
  • Idioma: inglés
  • Títulos paralelos:
    • Après la mort, la mort: la mécanique du désir dans The Siren de Henry Carrington
  • Enlaces
  • Resumen
    • English

      This essay deals with the mechanics of longing in a late Victorian siren poem by Henry Carrington, The Siren. Although Victorian literature was teeming with short stories, poems and novels on sirens, this genre, that builds upon and reverses Homeric siren tradition, remains neglected in literary discussions. With the translation of The Little Mermaid into English in 1872, the image of a "longing siren" was born. No longer were these the stories of Odysseus who had survived the siren song: now they were about the sirens’ own sorrows, griefs and desires. Sirens became profoundly human – they became desiring subjects themselves.

    • français

      Cet article traite de la mécanique du désir dans un poème de sirène de la fin de l’époque victorienne, écrit par Henry Carrington et intitulé The Siren (1898). Bien que la littérature victorienne grouillait de nouvelles, poèmes et romans sur les sirènes, ce genre, qui construit et renverse la tradition des sirènes homériques, reste négligé dans les discussions littéraires. Avec la traduction anglaise de La Petite Sirène en 1872, l’image d’une «sirène désirante» était née. Celles-ci n’étaient plus les histoires d’Ulysse qui avait survécu au chant des sirènes: c’étaient maintenant les histoires des douleurs, chagrins et désirs des sirènes. Les sirènes sont devenues profondément humaines : elles sont devenues ellesmêmes des sujets désirants.


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