Le Cymbalum mundi en françois (1537/1538) se présente comme la traduction d’un vieux manuscrit latin, mais il n’est ni ancien, ni tiré du latin. Le motif de la traduction constitue une invitation à découvrir un texte plus fondamental où la religion chrétienne est malmenée. Les indices apparaissent dans la lettre qui ouvre le livre, où le traducteur fictif prévient qu’il n’a pas rendu le texte « de mot à mot selon le latin » et signale des décalages balisant une lecture irréligieuse du livre.
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