Cet article analyse la traduction espagnole, en 1822, du manuscrit français intitulé Examen critique des apologistes de la religion chrétienne (1733) publiée en français en 1766. L’occasion de publier ce texte en Espagne est donnée par le contexte du « triennat constitutionnel ». Les notes de bas de page du traducteur anonyme offrent à la fois l’ironie indirecte et la critique directe du christianisme, ce qui prouve l’intention subversive de la traduction.
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