Plusieurs travaux récents concernant cet important réseau (14 km) sont analysés. La thèse de sédimentologie de P. Sorriaux (1982) précise le sens des circulations aquifères anciennes, qui se sont inversées au cours d'une évolution de 400 000 ans minimum en régime karstoglaciaire (datations isotopiques). Les études spéléométéorologiques de C. Andrieux, J. Brunet et Ph. Renault (1974-1983) portant sur le régime thermique et la répartition du gaz carbonique conduisent à proposer un modèle avec, en fonction de la fermeture ou de l'ouverture de certains passages, transformation d'un régime barométrique en régime de thermoventilation.
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