L'hyperaldostéronisme est considéré comme rare, mais il devient de plus en plus courant en clinique, surtou chez le chat âgé. Il se manifeste par une faiblesse généralisée associée à une hpertersion artérielle et à une hypokaliémie, souvent marquée. Cette affection peut être primaire, due à une sécrétion autonome d'aldostérone par les glandes surrénales. Toutefois, elle est souvent secondaire à une activation du système réniangiotensine-aldostérone (SRAA), l'un des systèmes les plus importants pur l'homéostasie hémodynamique. Cet article explique la physiologie du SRAA en détaillant les signes cliniques et biologiques, la démarche diagnostique et le traitement de l'hyperaldostéronisme primaire. De plus, les maladies qui peuvent induire un hyperaldostéronisme secondaire sont également abordées, ainsi que les médicaments qui peuvent inhiber le SRAA.
© 2001-2024 Fundación Dialnet · Todos los derechos reservados