Originaire d’une double culture franco-vietnamienne, la famille de l’auteure a choisi le français comme langue maternelle, obligeant l’auteure à apprendre le vietnamien, qu’elle n’entendait que comme une mélodie secrète, par elle-même. Elle continue d’explorer cette zone entre deux langues-cultures, faite de dialogue et de traduction, et refuse la notion d’identité.
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