La«perspective actionnelle» suqqere une réelle filiation avec lesthéories de I'activité, c'est-a-dire lavisée socioculturelle et ce qu'on pourrait nommer la co/multiaction. LeCECRaborde sanss'attarder cet aspect social en considérant tout locuteur/apprenant dans sadimension d'acteur social. Des lors, la «tache» peut-elle etre considérée comme individuelle comme I'approche cornmunicative le laisse entendre ? Comment tenir compte en classe de langues de cette perspective sociale et actionnelle sans retomber dans la tradition de I'apprenant sedéveloppant entoute autonomie ? Ouelle place accorder, en plus de lacompétence de communication, aux compétences dites génériques et transversales qui sont mobilisées nécessairement dans l'action sociale ? Comment évaluer et valoriser cette intelligence actionnelle partagée ?
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