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Donner aux habitants des quartiers populaires l’envie de rester

  • Localización: Hérodote: Revue de géographie et de géopolitique, ISSN 0338-487X, Nº. 170, 2018 (Ejemplar dedicado a: La France demain), págs. 153-173
  • Idioma: francés
  • Texto completo no disponible (Saber más ...)
  • Resumen
    • English

      France tomorrow is also at stake in its “popular neighborhoods” (working-class areas). The concentration of poverty in some territories suffering from a very negative image and a degraded urbanism threatens both the economic performance of the country and its cohesion. Olivier Klein, mayor of Clichy-sous-Bois and president of the ANRU exposes to Hérodote his vision of the main issues for these neighborhoods and their inhabitants. The main point is to make people want to stay when their social situation improves, and the main lever for that is school. But the 20 measures that could solve “the problem of the banlieues” do not exist. It’s necessary to act on all fronts to achieve a certain “normal” life in these territories, to which the inhabitants aspire, and fight against the idea of helplessness of public authorities. This goes for the ANRU, whose action must go faster, for the police, who must be able to take care of the worries of everyday life, or for the mayor. Olivier Klein finally proposes a more peaceful management of the religious fact in these territories.

    • français

      La France demain se joue aussi dans ses quartiers populaires. La concentration de la pauvreté dans quelques territoires souffrant d’une image très négative et d’un bâti et d’un urbanisme dégradés menace tant les performances économiques du pays que sa cohésion. Olivier Klein, maire de Clichy-sous-Bois et président de l’ANRU (Agence nationale pour la rénovation urbaine) expose à Hérodote sa vision des principaux enjeux pour ces quartiers et leurs habitants. L’essentiel est de donner envie aux habitants de rester quand leur situation sociale s’améliore, et le principal levier pour cela est l’école. Mais les vingt mesures qui « régleraient le problème des banlieues » n’existent pas. Il faut agir sur tous les fronts pour atteindre une certaine « normalité » de la vie dans ces territoires, à laquelle aspirent les habitants, et lutter contre le sentiment de l’impuissance des autorités publiques. Cela vaut pour l’ANRU, dont l’action doit aller plus vite, pour la police, qui doit pouvoir prendre en charge les soucis de la vie quotidienne, ou pour le maire. Olivier Klein propose enfin une gestion plus apaisée du fait religieux dans ces territoires.


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