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Resumen de From Tahar Djaout's "No" to Mustapha Benfodil's "Enough!": two Moments of Revolutionary Aesthetics in Contemporary Algerian Literature and Cultural Activism

Mary Anne Lewis Cusato

  • Vingt-cinq ans avant la mort de Tahar Djaout, le poète, journaliste, dramaturge, et activiste Algérien Mustapha Benfodil naissait dans l’ouest de l’Algérie. C’était 1968, une année de bouleversements culturels, économiques, sociaux et politiques à travers le monde. Cet esprit continue à guider et informer l’œuvre de Benfodil de nos jours. L’année de l’assassinat de Djaout, Benfodil lui a rendu hommage dans un poème intitulé «À la santé de la République». Ce poème relie ces deux auteurs et figures intellectuelles publiques textuellement d’une manière immédiate et évidente. Les parallèles entre les écrivains, spécialement en ce qui concerne la révolution et les relations que l’artiste partage avec la société, l’état, et la religion, sont profonds. Cet article examine les messages, les tons et les approches révolutionnaires de Djaout et Benfodil à travers l’étude de la poésie évolutionnaire du premier et d’une installation artistique, intitulée Maportaliche/Écritures sauvages, du deuxième. Dans cette tradition esthétique révolutionnaire, ’importance du travail de l’artiste/l’intellectuel/l’activiste prend une signification intensifiée, alors quecette figure se trouve alternativement adulée ou censuré


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