Trois questions sont posées au modèle de la complexité en mosaïque. La première porte sur la relation entre le modèle et son illustration, en privilégiant l’exemple du cortex cérébral et des conceptions rivales qui peuvent en être proposées. La seconde porte sur l’universalité des «principes» de juxtaposition et d’intégration, et sur la relation entre science et philosophie. La troisième porte sur la limitation du nombre de principes à deux: peut-on envisager d’autres manières de faire des touts que la juxtaposition et l’intégration?
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