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O lucreciano De rerum natura e o Hino a Vênus

  • Autores: Maria da Glória Novak
  • Localización: Classica: Revista Brasileira de Estudos Clássicos, ISSN 0103-4316, ISSN-e 2176-6436, Vol. 2, Nº. 1, 1989, págs. 109-121
  • Idioma: portugués
  • Enlaces
  • Resumen
    • On se demande toujours pourquoi le matérialiste Lucrèce nous présente Vénus au début de son poème: une Vénus qu’il invoque et qu’il désire comme compagne de sa création littéraire, une Vénus à qui il ne demande pas moins que la paix. Qu’est-ce que cela peut bien signifier pour le Poète d’invoquer une déesse, si l'épicurisme ne suppose aucune sorte de protection divine? On a beau dire qu’il est incoherent, je ne le crois pas. Au contraire, le De rerum natura est tout à fait cohérent: et d’une cohérence interne et d’une cohérence d’avec l'épicurisme. Le poème nous le démontre à chaque instant dans ses exemples, dans ses développements, et surtout dans sa ligne maîtresse. La vie commence par le plaisir et se termine par la mort et de même fait le poème: Vénus, le plaisir, l’origine de la vie, au début du De rerum natura; la peste d’Athènes, la terreur, la mort à la fin du poème. Ce n’est donc pas la déesse qu’invoque le Poète, au début de son ouvrage: c’est le plaisir, c'est la force créatrice de la nature, c’est la vie.


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