El autor PreSenta un caso de sífilis pulmonar, que vivió Casi un Mes, siendo diagnosticado por necropsia. El enfermo es un prematura de 5 días y del que se desconocen todos los antecedentes. No hay lesiones cutáneas ni mucosas. Bazo no palpable. Hígado rebasa a través del dedo el reborde costal. Empieza con ligera febrícula que al día siguiente sube a 38°. Diarrea ácida. Algunos estertores húmedos diseminados.
Sin aleteo nasal ni disnea. Al día siguiente la sintomatología pulmonar es igual, presentándose cianosis y ligera disnea, que en los dos ft:timos días se hacen más acentuadas, en cambio está apirético. Muere al séptimo día de hacerse ostensible para nosotros su enfermedad.
A la necropsia se evidencian lesiones macro y microscó picas que permiten asignar claramente una etiología sifilítica a la enfermedad. Hace resaltar el hecho de que sólo sea el pulmón el único órgano afecto.
Estudia las clasificaciones del tipo de lesiones de la sífilis pulmonar.
El autor confiesa no haber visto claramente los "folículos elementales sifilíticos" que al juntarse con otros forman un pequeño nódulo: el "goma sub-miliar o miliar".
Se extiende en consideraciones respecto a la interpretación del epitelio cuboide que aparece tapizando la luz de los alveolos.
No encontró los treponemas ni por el método de KRANTZ ni por el de Amuzzi y STREMPEL.
Para terminar recuerda que la sífilis pulmonar es excepcional en los fetos que han res pirado, y por eso ha creído de interés la presentación del caso por él observado.
L'auteur présente un cas de syphilis pulmonaire, qui vécut près d'un mois et dont on fit le diagnostic ä la nécropsie. Le malade est un .enfant né avant terme de 5 jours et dont on ignore tous les antécédents. II ne presente pas de lésions cutanées, ni de lésions muqueuses. Rate non palpable. Le foie dépasse un travers de doigt de rebord des cótes. Le malade commence par une légère fébricule qui monte à 38° le jour suivant.
Diarrhée acide. Quelques ràlements humides éparpillés. Le jour suivant, la symptomatologie pulmonaire est la méme, avec la présence d'une cyanose et d'une légère dyspnée, qui s'accentuent pemlant les deux derniers jours. En revanche, le malade est apyrétique. 11 meurt sept jours après ait commencé ä s'occuper de sa A la nécropsie, on apercoit des lésions macrospiques et microspiques qui permettent d'assigner clairement ä la maladie une étiologie syphilitigue.
Faut ä retenir, c'est que c'est seulement le poumon le seul organe affecté.
L'auteur étudie les classifications du type des lésions de la syphilis pulmonaire. II avoue n'avoir pas vu franchement les "follicules élémentaires syphilitiques", qui, en se joignant avec d'autres, forment un petit nodule: la "ob omme soumiliaire on miliaire".
II s'étenden considérations sur l'interprétation de l'épithélium cuboide qui apparait, tapissant la lumière des alvéoles.
11 ne trouve de tréponémes, ni par la méthode de KRANTZ, ni par celle d'Amuzzi et STREMPEL.
II termine en rappellant que la syphilis pulmonaire est une exception chez les foetus qui ont respiré, et c'est pourquoi, il a cru qu'il était inté- réssant de présenter ce cas qu'il avait observé.
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