This article argues that the system of Checks and Balances in the United-States of America should be able to limit the damage caused by the Trump Presidency to the Paris Agreement on climate change — and more generally to environmental policy. It reviews the Trump administration’s measures to roll back on the Obama Administration's environmental legislation. It further argues that the institutional enviornmental policy structure and the framework of adminisrative law in the United States should be able to limit these actions. The article identifies three types of controls : (1) horizontal constraints based on separation of powers, (2) vertical limitations embedded in the U.S. commitment to federalism, and (3) the private sector’s separate capacity to determine the direction of climate change policy.
Le présent article soutient que l’organisation institutionnelle et politique des États-Unis devrait permettre de limiter les dommages causés par la Présidence Trump à l’Accord de Paris, et à la politique environnementale américaine plus généralement. Nous commençons donc par décrire les récentes attaques de l’administration Trump envers la protection de l’environnement et du climat, aux niveaux interne et international. Dans un second temps cependant, nous argumentons que l’organisation institutionnelle et politique des États-Unis devrait permettre de limiter cette action. Nous identifions trois types de « contrôles » susceptibles de brider l’action du Président. Le premier, horizontal, provient de la séparation des pouvoirs. Le second, vertical, est issu du système fédéral américain et le troisième provient de l’engagement du secteur privé et plus largement de la société civile.
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