Deborah A. Dougherty, Susan E. Toth-Cohen, George S. Tomlin
Background.Recent literature in evidence-based practice indicates that evidence is defined differently from practice and research perspectives. However, few published works address therapists’ perspectives of the nature and use of evidence in everyday practice. Purpose. This study describes the definition, types, and use of evidence from the perspective of six schoolbased occupational therapists. Method. Data were collected through focus groups an d participant-submitted documentation and analyzed using qualitative and quantitative content analysis. Findings. Two categories of evidence emerged: internalized evidence and evidence gathered during the intervention process. Clinical reasoning, identified as a key skill in evidence-based practice, supported the synthesis of therapist internalized evidence with ‘‘in-the-moment’’ evidence gathered from activity, contextual, and occupational analyses of the client. Implications. The findings support current literature that has suggested expanding the definition of evidence (i.e., more than research fi ndings alone). Further investigation of evidence building in practice may help in constructing a more inclusive professional culture of evidence-based practice
Description. Des écrits récents sur la pratique fondée sur les faits probants indiquent quelles «faits probants» sont de finis différemment selon que l’on adopte la perspective de la pratique ou celle de la recherche. Toutefois, peu d’études publiées jusqu’à maintenant décrivent les perspectives des ergothérapeutes sur la nature et l’usage des faits probants dans la pratique quotidienne. But. Cette étude présente la définition, les types et l’usage des faits probants selon la perspective de six ergothérapeutes exerçant en milieu scolaire. Méthodologie. Des donne ́ es ont été recueillies à partir de groupes de réflexion et de documents soumis par les participants; ces donne es ont ensuite été́ analysé es à `l’aide d’une analyse qualitative et quantitative du contenu. Résultats. Deux catégories de faits probants ont été́ mises en évidence : les faits probants intériorise s et les faits probants recueillis au cours du processus d’intervention. Le raisonnement clinique, qui est considèré comme une compétence clé́ dans la pratique fondée sur les faits probants, a été́ appuyé́ par une synthèse des faits probants intériorises par l’ergothérapeute et des faits probants recueillis « au moment» des analyses de l’activité́, contextuelle et occupationnelle du client. Conséquences. Les résultats appuient les écrits actuels, qui suggèrent d’élargir la définition des faits probants (c’est-à`-dire que les faits probants représentent beaucoup plus que de simples résultats de recherche). D’autres études sur l’acquisition de faits probants dans la pratique pourraient favoriser l’intégration de la pratique fondée sur les faits probants dans la culture professionnelle.
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