Cet article se propose de montrer que la réélection de Dilma Rousseff à la présidence de la République, le 26 octobre 2014, repose autant sur des fondements solides qu’elle recèle des points névralgiques qui, loin d’interdire la possibilité d’une nouvelle victoire du PT en 2018, rendent incertain son avenir au pouvoir. Il revient d’abord sur le bilan de son premier mandat qui, selon le point de vue que l’on adopte, peut s’analyser de différentes manières. Il évoque ensuite la fragilisation de positions sociales qu’ont provoquées des transformations sociales plus ou moins récentes. Il aborde alors, dans une dernière partie, le résultat à proprement parler des élections générales d’octobre 2014 et la difficulté croissante à gouverner que la présidente est appelée à rencontrer
© 2001-2024 Fundación Dialnet · Todos los derechos reservados