Ayuda
Ir al contenido

Dialnet


Toxicovigilance dans le service de gynécologie-obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Point G, Bamako, Mali

    1. [1] Université Ibn-Tofail

      Université Ibn-Tofail

      Kenitra, Marruecos

    2. [2] Université des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako

      Université des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako

      Mali

    3. [3] Centre Hospitalier Universitaire Point-G, Bamako, Mali
  • Localización: Antropo, ISSN-e 1578-2603, Vol. 36, 2016, págs. 77-83
  • Idioma: francés
  • Títulos paralelos:
    • Toxicovigilance in the obstetrics and gynecology department of University Hospital Point G, Bamako, Mali
  • Enlaces
  • Resumen
    • français

      En vue d’étudier le risque de toxicité liée aux prescriptions médicamenteuses, une étude prospective descriptive et transversale a été faite, auprès des femmes enceintes (FE) reçus pour consultation prénatale (CPN) et des prescripteurs assermentés. Elle s’est déroulée sur une période de 06 mois (02 Février - 31 Juillet 2015) dans le service de gynécologie obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Point G, Bamako. Les données ont été saisies sur le tableur Excel qui a servi aussi à effectuer les figures et les tableaux. L’analyse statistique a été effectuée sur SPSS.10. La méthode OMS d’imputabilité applicable en pharmacovigilance a été adoptée. Durant cette étude, 332 FE ont été incluses avec une moyenne d’âge de 27 ± 6. La plupart d’entre elle avait un niveau scolaire souhaitable (59% des cas), dans 64% des cas, c’étaient des multipares et dans 90%, mariées (χ2 = 47,01; P < 0,05). Le nombre moyen de prescription était de 4±1 médicaments par ordonnance avec 5 ± 2 contre-indications médicamenteuses. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) qui peuvent entrainer une fermeture prématurée du canal artériel au cours du 2ème trimestre de la grossesse, ont été prescrits dans 5% des cas. Dans 11%, les médicaments ont été prescrits sans motif en rapport avec les cas d’avortement spontané (26%) et d’interaction médicamenteuse (9%) à corrélation statistiquement significative (χ2 = -0,302, P = 0,04). Les évenements indésirables étaient notés dans 26% des cas dont 24% peu probablement liés aux médicaments, selon la méthode OMS d’imputabilité.

    • English

      In order to study the toxicity risk associated with drug prescriptions, a descriptive and prospective cross-sectional study was conducted, for pregnant women received for antenatal care and prescribers. It took place over a period of six months (February 2 to July 31, 2015) in obstetric gynecology department of the University Hospital Point G, Bamako. The data were entered into an Excel spreadsheet that was also used to make the figures and tables. Statistical analysis was performed on SPSS.10. The accountability method for the WHO pharmacovigilance was adopted. During this study, 332 pregnant women’s were included with a mean age of 27 ± 6. Most of it was a desirable school level (59%) in 64% of cases, they were multiparous and 90% married (χ2 = 47.01, P <0.05). The average number of prescription was 4 ± 1 per prescription medications with 5 ± 2 against drug-indications. No-steroidal antiinflammatory drugs which may cause premature closure of ductus arteriosus during the 2nd trimester of pregnancy were prescribed in 5% of cases. In 11%, the drugs were prescribed without cause in connection with cases of spontaneous abortion (26%) and drug interaction (9%) with statistically significant correlation (χ2 = -0.302, P = 0.04). Adverse events were recorded proven in 26% of cases and 24% somewhat likely related to drugs, according to the WHO method of accountability


Fundación Dialnet

Dialnet Plus

  • Más información sobre Dialnet Plus

Opciones de compartir

Opciones de entorno