The social dimensions of citizenship regimes are now being redesigned.
Policy communities prescribe a shift from supposedly passive spending on social protection to policies that will generate an “active society” and an “active citizenship”. This is not, however, a story of neo-liberalism triumphant. The story is more complicated. Currently, a number of countries are stepping away from the cuts and constraints of neo-liberalism towards a “social investment perspective”, one that is intended to counter “new social risks”. This article examines the consequences of such changes for gender relations in Canada.
Les dimensions sociales des régimes de citoyenneté sont actuellement en cours de redéfinition. Les communautés de politiques publiques préconisent un passage de dépenses de protection sociale dites passives à des politiques conçues comme favorisant une « société active » et une « citoyenneté active ». Ces transformations ne se résument pas à un triomphe du néolibéralisme et relèvent de logiques plus complexes.
Plusieurs pays reviennent aujourd’hui sur les restrictions budgétaires et les contraintes du néolibéralisme pour adopter une « perspective d’investissement social » visant à contrer les « nouveaux risques sociaux ». Cet article analyse les conséquences de ces changements pour le régime de citoyenneté et les rapports de genre au Canada.
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